Une question importante…
Comment les médecins généralistes utilisent ils leur temps ? Quel est finalement leur emploi du temps ? Cette question est importante puisqu’il s’agit aujourd’hui, pour différentes institutions, de réfléchir à la fois à l’organisation de la médecine, à son financement, mais aussi la formation des médecins généralistes pour les années qui viennent.
Des enquêtes récentes ont été menée -en Belgique par exemple- mais les réflexions sont nombreuses sur la question, l’INSEE, le centre de sociologie et démographie médicale ou la DRESS ont, eux aussi, étudié le sujet depuis le début du siècle.
Globalement il apparaît que les médecins généralistes travaillent beaucoup et que, dans l’ensemble, leur temps de travail outrepasse ce que la plupart d’entre eux considéreraient comme la semaine idéale…
En effet la durée de travail hebdomadaire des médecins généralistes dépasse les 50 heures. Elle s’approche des 60 heures pour les hommes et des 53 heures pour les femmes. Près de 80% des médecins déclaraient, il y a quelques années, travailler plus de 50 heures par semaine, alors même que différentes enquêtes montrent qu’une semaine d’environ 40 heures correspondrait pour une majorité de médecins généralistes à un bon chiffre.
Différences dans les emplois du temps des médecins.
Il existe, bien entendu, des variations en fonction non seulement de choix personnels professionnels -dispositifs de garde- mais aussi des contextes sociologiques ou géographique -les médecins ont tendance à faire encore plus d’heures en zone rurale- des régions et parfois des saisons lorsqu’ils ou elles se trouvent dans des régions fortement impactées par les migrations touristiques
Le travail du médecin généraliste revêt des aspects différents dans la mesure où, à côté de son rôle purement médical au sens technique, le médecin traitant ou encore -comme on le disait autrefois- le médecin de famille, joue un rôle important sur le plan humain. C’est là l’une des grandes difficultés de son emploi du temps et des éléments de pression qu’il peut subir (manque de médecins, surcharge, relation institutionnelles …) il manque parfois du temps qu’il aimerait consacrer à cet aspect de sa mission.
Le logiciel médical un dépense parmi d’autres…
De même, sur un autre plan, si le médecin perçoit des sommes confortables essentiellement liées à la rémunération des consultations, il/elle est aussi contraint(e), la plupart du temps, à de nombreuses dépenses: secrétariat ménage, matériel, et logiciel pour ne citer que celles-là…
C’est pourquoi un bon logiciel médical doit revêtir plusieurs aspects sur lesquels il ne faut pas se tromper.
Un bon logiciel médical…utile pas bling bling…
Ce n’est pas la virtuosité d’une démonstration ou la multiplicité de fonctionnalités plus ou moins utiles qui favorisent le confort et le travail du médecin généraliste comme d’ailleurs du médecin hospitalier.
En fait, les éléments les plus importants résident dans la convivialité du logiciel afin que son utilisation soit fluide et que les fonctionnalités correspondent à ce qui est le plus fréquemment utilisé. Il faut, en fait, que le logiciel médical soit bâti sur une vraie connaissance du métier, de l’activité, de l’emploi du temps. Aujourd’hui, environ un quart du temps du médecin est consacré à autre chose que ses missions auprès des patients.
ll faut également qu’en cas de difficulté le temps précieux du médecin ne soit pas perdu par une attente trop longue de la hotline.
De même, il faut s’il y a besoin qu’il puisse toucher rapidement un interlocuteur qui n’est pas un intermédiaire éloigné mais un vrai connaisseur de son outil. Enfin il est bon également lorsque les médecins s’installent que le coût du logiciel et de son installation ne soit pas trop élevé.
Favoriser l’acquisition d’un logiciel médical en zone déficitaire
Dans cette optique Méd’Oc, proche des ses médecins-clients se comporte toujours comme un vrai partenaire, c’est pourquoi tous les services de hotline du logiciel médical, sont rendus par de vrais connaisseurs de l’outil. En fait, par ceux là même qui l’ont conçu et amélioré soit en fonction d’éléments extérieurs (être à l’heure au rendez-vous du Ségur numérique par exemple) ou internes (recherche permanente avec les cabinets et maisons médicales de garde, d’améliorations possibles).
D’autre part, Méd’Oc souhaite faciliter l’installation des médecins en offrant de multiples possibilités d’acquisition du logiciel à tarif intéressant et même, en proposant à certaines municipalités en zone déficitaire, des réductions très importantes voire la gratuité du logiciel -pour ce qui est de son acquisition de départ et de sa mise en place- afin de favoriser la lutte contre les désert médicaux.